Intérieur nuit. Un appartement parisien, sans moulures ni parquet. Vide. Vue sur la tour Eiffel. Le sol est en moquette épaisse, le dressing en chêne. Une musique électronique cadence la scène.
L’homme Fursac s’apprête, jamais trop beau. Il passe d’un costume à un cuir. Change pour une veste de velours lisse, framboise, sur une chemise et sa cravate ton-sur-ton. Lunettes noires, cravate, mocassins. Il change de style, mais pas de personnalité. Assume tout. Sa virilité, sa féminité, sa frime.