#embraceequity
A l’occasion de la Journée de la femme, la maison Fursac célèbre cinq entrepreneuses françaises, qui, chacune dans leur domaine, ont su imposer leur talent.
Invitées à sélectionner des pièces de leur choix, mais surtout à les réinterpréter, à les détourner, elles s’approprient habilement les pièces d’un vestiaire masculin devenant universel, jouant avec les codes et idées préconçues au-delà de toute notion de genre.
Amelle Chahbi, comédienne, dramaturge et réalisatrice d’origine franco-marocaine s’affirme aussi bien sur scène que devant et derrière la caméra.
Son premier documentaire intitulé «
Pourquoi nous détestent-ils ? » (2016) s’intéresse au racisme anti-Arabe en France.
« Porter de l’homme en cette journée de la femme est le symbole du monde qui change ! Et il change très vite. Le patriarcat s’effondre, les paroles se délient, les jeunes s’engagent, les genres se floutent, le monde essaye tant bien que mal de s’unir. Et c’est très positif ! Je me sens bien, belle et sexy. Comme à chaque fois que je prends une pièce dans le dressing de mon homme. »
Ingrid Estarque, danseuse et chorégraphe, engagée dans une démarche de transmission à travers de nombreux projet d’animation socio- culturelle, elle enseigne également les techniques d’improvisation et d’expression scénique.
« J'ai beaucoup de mal avec les couleurs monotone, et j'ai beaucoup aimé ce look coloré rempli de soleil. J'aime qu'il y ait beaucoup de couleur dans ma vie.
Porter de l'homme pour la journée de la femme ne me change pas de mes habitudes car j'aime être libre de faire et de porter ce que je veux selon mon mes envies et énergies du moments. »
Coralie Kory, fondatrice des restaurants le Tricycle et Jah Jah, élabore et réinvente au quotidien une cuisine authentique afro-caribéenne et une cuisine végétalienne.
"Je n'ai pas l'impression de m'habiller en homme et je n'ai pas l'habitude de genrer les vêtements. Les catégories qui m'intéressent ce ne sont pas forcement les vêtements d'homme ou de femme. Ce qui m'intéresse c'est plus d'être a l'aise dans les vêtements que je porte, que je me sente bien, belle et au naturel."
Violaine Orsoni, co-fondatrice du Studio de direction artistique Violaine et Jérémy, enchaine les projets et collaborations avec à cœur de toujours préserver une réelle exigence artistique et créative.
« J’ai fortement embrassé ma part masculine depuis mon plus jeune âge. J’ai volontairement choisi des couleurs fraiches que les hommes, à mon sens, devraient plus souvent s’autoriser. »
Frankie Wallach, actrice et réalisatrice, réalise son premier long métrage
Trop d’Amour en 2021, véritable portrait familial immortalisant l’histoire de sa grand-mère rescapée d’Auschwitz. En 2023 elle revient à l’affiche en interprétant deux rôles à travers deux longs-métrages :
Le livre des solutions de Michel Gondry et
Marinette de Virginie Verrier.
« Je me sens bien mieux dans une coupe homme et moins compressé que dans une taille féminine. Je me sens bien plus moi-même et pétillante en portant un costume qu’une robe. J’adore mes grandes épaulettes, j’ai l’impression d’être une grande personne.»
Cette campagne marque également l’engagement de la maison Fursac auprès de l’association
Force Femmes, qui, depuis 2005 accompagne la réinsertion de femmes de plus de 45 ans au chômage dans le monde du travail, les guidant vers une autonomie dans la construction de leur projet professionnel, salarié ou entrepreneurial, afin que chacune d’elle se rende actrice de son propre parcours.
